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LE RÉGIME ZÉTÉTIQUE ︎︎︎ Installation, technique mixte, 2022

Le Régime Zététique est une installation immersive où le spectateur peut (derrière une fenêtre) activer l’oeuvre sans jamais pouvoir rentrer dans l’espace d’éxposition.










Vu de la fenêtre #1


Vu de la fenêtre #2

Vu de la fenêtre #3


Vu de la fenêtre #4



Le Groom





Présentation

C’est l’histoire d’un échec. De l’échec individuel d’un collectif. De l’échec à notre échelle de la collec-tivité. Pour comprendre cet échec, il y a une énigme à résoudre, un message à décoder. C’est là, la condition sine qua non de l’escape game, et en bon élève, nous resterons fidèles à cette spécificité.


Prologue  : “Je n’arrive même pas à me vomir, tout reste contenu. Ma manière de m’habiller est contenu. Je mange contenu comme je bois contenu. Mes convesations sont dépourvus de contenu, donc contenu, pareil pour mes divertissements . Si je pête, mon pet reste quoi qu’il arrive silencieux”.


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En réponse à l’invitation de Bagnoler à explorer la notion “d’escape game”, les artistes : David Perreard et moi-même, décidions d’initier les participants à la “zététique”.

Ce faisant, nous fîment l’heureuse expérience de créer un jeu à dessein artistique, se défendant de l’idée du beau, dans le domaine circoncie de la zététique, (domaine dans lequel, à leurs insu, les participants étaient mis au régime.)

Douter du beau ? Voilà un présentiment à coup sûr zététicien,  dont les joueurs devaient faire l’expérience s’ils voulaient sortir de ce jeu gagnant.

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Au travers d’une vitre donnant sur l’espace d’exposition, les joueurs, grâce à un micro placé devant eux, etaient invité à intérragir avec le “groom” (personnage intermédiaire, entre l’automate et l’humain). Charger d’éxécuter leurs demandes et de leurs imposer les énigmes imprimé par la table, il était ce par quoi les participants pouvaient modifier les éléments du décor.
Au besoin, des indices, (plus ou moins nombreux selon les joueurs), étaient disposé sur la fenêtre. Allant même jusqu’à l’obstruer complètement si nécessaire, et donc mettre à mal le fonctionnement du jeu. La finalité étant la défaite, si d’avanture la fenêtre était bouché avant qu’ils ai pu résoudre l’énigme.  
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Forcé de raisoner en groupe, les participants devaient bien écouter les doléances des poupées, qui se plaignaient de leurs corps contenu dans des logorrhés parfois proche de l’inssoutenable.
Pour ce qui est des joueurs, s’ils leurs fallaient faire preuve d’empathie à leurs égard, c’était avant tout pour comprendre ce degrer de souffrance qui nous est étrangé, à nous, fait de chaire.  La clé se trouvant dans cette écoute. 

A ce jeu, douter de la souffrance revient à douter de la beauté. (David et moi étant tout deux romantique dans le sang, il vas de soi que c’est sous ce prisme, (doublé de celui zététicien) que nous abordions cette notion. 

Par ailleurs, par qu’elles étapes sommes nous passé, fait de doute, d’accrochage entre nous,  dans l’éllaboration de ce divertissement.  Oui, comment se libérer du poid de l’art dans l’enfantement d’un jeu ? C’était là, tout l’enjeu de cette histoire. 

Comme des parents habiles, il nous fallu laisser grandir l’intrigue à son rythme, ni la presser, ni l’alentir. Garder en mémoire les leçons de nos ainés, celles de Beuys et Broodthaers, qui nous apprirent qu’un point ne relêve son importance que quand il est doublé d’une virgule.